Méryl Castelan
❖ CITATION : tourne vers moi tes yeux pleins d'azur et d'étoiles ! pour un de ces regards charmants, baume divin. des plaisirs plus obscurs je lèverai les voiles, et je t'endormirai dans un rêve sans fin - CHARLES BAUDELAIRE ❖ MESSAGES : 24 ❖ DATE D'INSCRIPTION : 29/12/2011 ❖ PSEUDO : foolish spirit. ❖ TON AVATAR : kristin kreuk. ❖ CRÉDIT : avatar @ stormy weather - sign @ uc.
| Sujet: (m) SHOW ME A GARDEN THAT'S BURSTING INTO LIFE | JENSEN ACKLES | TRÈS NÉGOCIABLE | LIBRE. Dim 1 Jan - 3:37 | |
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kerwan, au choix.
"mais animant ma langue, échauffe aussi mon coeur, que je sente ce feu qui par toi seul s'allume." Ҩ because my life Le prénom et le nom sont tout à fait au choix. Kerwan est issus à guise d'exemple et c'est aussi le prénom que j'ai utilisé dans ma présentation. Il doit être âgé d'environ 25 ans tout comme Méryl, mais vous pouvez toujours le faire un peu plus vieux si vous le souhaitez. Plus jeune par contre serait assez déroutant. Il doit être policier ou du moins travailler dans les forces publiques. Célibataire ou non, c'est à vous de voir comment nous pourrions compliquer les choses entre eux. Niveau caractère, Kerwan est une personne douce et aimante. Il est avenant, agréablement à vivre, boute-en-train, compatissant, généreux mais aussi impatient, casse-cou, chiant, taquin, nerveux. Son histoire est tout à fait libre du moment qu'elle coïncide avec leur lien. Il doit donc être allé à New York il y a près d'un an et y a rencontré Méryl. Quant au reste, je n'impose rien pour que vous vous imprégniez plus de votre personnage. Ҩ total eclipse of the heart Kerwan et Méryl se sont rencontrés alors qu'ils étaient tout deux en voyage à New York. Ils ont passé une journée mémorable aux côtés de l'autre, mais leur histoire s'est arrêté là jusqu'à ce que Méryl ne prenne la décision de sa vie. Elle quitta son pays, son quotidien, le jour même de son mariage pour s'en aller vers Long Beach ville où Kerwan réside. Leur relation qui était au point mort a donc pu repartir de plus belle lorsqu'ils se sont retrouvé dans les mêmes conditions que leurs première rencontre. Les anecdotes de ma présentation expliqueront bien mieux le lien qui les unit. - extrait de ma présentation:
DON'T NEED TO WORED FOR A WHILE. MAYBE HAPINESS IT'S JUST AN ANOTHER FAIRYTALE ◄►
Après près d'un an de recherche, mes collègues et moi voyons enfin le fruit de notre travail. Nous avions décelé la possibilité de trouvailles nécrologiques en plein coeur de l'Alabama et devions nous rendre à New York démontrer notre hypothèse lors de conférences. Celles-ci regrouperaient les archéologues les plus renommés de tous les continents et c'était une fierté d'y être conviée. Mes affaires déposées dans ma chambre d'hôtel, j'assistais au discours de plusieurs heures de certains des organisateurs. Ils nous informaient sur le programme que nous suivrions et présentaient les membres d'honneurs. Ces banalités terminées nous avions le reste de notre journée pour faire ce que bon nous semblait. Mes collègues et moi avions retravaillé notre discours, mais le trouvant déjà bien articulé nous nous afférions à nos propres plaisirs. Je me promenais donc dans les rues de New York à la découverte de cette terre inconnue. Je n'avais jamais mis un pied en dehors de la France avant ce voyage et j'étais quelque peu excitée à cette idée. Le temps était frais en cette période de fin d'année et je décidais donc d'entrer dans un café pour me réchauffer. Assise à une table, je regardais la carte louchant sur chacun des intitulés. A la table voisine, un homme terminait sa tasse de café et ne cessait de m'observer. Gênée, je me cachais derrière ma carte pour l'en dissuader, mais cela ne fit pas son effet. Relevant discrètement la tête, je remarquais que son regard était toujours posé sur moi. Pris en faute, je me cachais de nouveau rapidement derrière ma carte. Je trouvais cette situation vraiment puérile et voyant qu'il m'observait toujours, je laissais tomber bruyamment mes mains contre la table. Vous allez arrêter de m'observer, oui ? J'avais attiré l'attention de la plupart des clients. L'homme semblait gêné et se racla la gorge avant de me répondre avec difficulté. C'est juste que vous avez une tache sur votre joue et je ne savais pas vraiment comment vous le dire ... Je me sentais bête d'avoir réagi de la sorte, mais surtout d'avoir cru à une pathétique technique de drague. Je passais délicatement ma main sur ma joue qui s'était empourprée. Oh, merci. Je laissais passer le temps, puis sans prendre garde, je me levais de ma chaise et m'asseyais à celle en face de lui. Timidement, je levais les yeux dans sa direction. Je suis désolée ... pour tout à l'heure. Je ne sais pas ce qui m'a pris, je ne suis pas aussi agressive d'habitude. Il m'adressa un sourire que je lui rendis. A vrai dire je lui trouvais un certain charme et bien que ma raison me disait de fuir cette situation malsaine, je restais collée à cette chaise. Ce n'est rien. Oh je m'appelle Kerwan et vous ? Étonnée par tant de franc-parlé et de spontanéité, j'eus un léger mouvement de recul, presque imperceptible. J'étais de nouveau ridicule à réagir de façon négative. Méryl, mon prénom est Méryl. Il s'assit plus confortablement au fond de sa chaise et marqua un long moment de pause tout en me fixant avec attention. J'étais assez gênée de me sentir une fois de plus observée de la sorte. Française ? Mes yeux s'écarquillèrent et je finis par lui sourire gentiment et de lui répondre que c'était bien le cas. Je lui renvoyais la question, bizarrement intéressée par la réponse. Américain, je vis actuellement à Long Beach.Il marqua un temps de pause, semblant hésiter à poser sa question. Il fixait ma main qu'il pointa ensuite du doigt, avant de prendre de nouveau la parole. Je vois que vous êtes mariée. - Fiancée. Je ne suis pas encore mariée, simplement fiancée. Mais c'est compliqué .. Je me mordis la lèvre inférieure, regrettant soudainement de lui avoir confié une partie de ma vie. Il semblait vouloir en savoir plus mais n'en demanda rien. Je le remerciais secrètement d'avoir respecté mon intimité. Nous avions discuté de cette façon pendant près d'une heure avant de décider de sortir du café pour prendre l'air. Nous marchions côte à côte et je n'avais aucune idée de ce que nous allions faire. En réalité je n'y pensais pas. J'étais obnubilée par cette soudaine sensation de bien être, de liberté. C'était tout aussi déroutant qu'agréable. Kerwan brisa le silence et il me sortit par la même occasion de mes pensées. Tu as déjà visité la ville ? Mon regard s'était tourné vers lui, tandis que nos pas se ralentissaient. Le principal oui, j'ai visité la St Patrick's Cathedral, puis le pont de Brooklyn, la statue de la Liberté, l'empire state bulding et ... Son rire me coupa dans ma lancée et je le fixais désormais d'un regard dubitatif. Je veux dire, le vrai New York, pas tous ces lieux touristiques qui n'en valent pas la peine. Je ne comprenais pas où il voulait en venir. Si ces lieux n'étaient pas intéressant, pourquoi avaient-ils été choisis pour faire partie de tous les itinéraires touristiques ? Curieuse d'en apprendre plus, j'acceptais qu'il me fasse visité les lieux de New York qui, selon lui, valaient vraiment la peine d'être vu. Nous avions donc assisté à un flash mob, puis il m'avait montré des ruelles peu exploitées, mais au charme évident. La journée était passée à une allure folle et nous n'avions pas arrêté de rigoler. Surprise par tous ces éléments newyorkais que seuls les habitants connaissaient, mes yeux scintillaient constamment. J'ai gardé le meilleur pour la fin, suis-moi. avait-il dit en me tendant la main. Nous venions à peine de finir de manger et j'eus du mal à courir l'estomac plein. Pourtant, je m'efforçais de suivre son rythme, pressée de voir ce qu'il me réservait. Nous y voilà. Nous étions montés sur le toit d'un immeuble duquel la vue sur la ville était magnifique. Penchée sur la rambarde, je fixais la ville qui semblait à la fois si petite et si grande de là où nous nous trouvions. Je me retournais ensuite vers Kerwan, un énorme sourire aux lèvres. C'est magnifique, merci ... Il me rendit mon sourire et me rejoignis à la rambarde avant de s'allonger à terre et ainsi attirer mon attention. Je le regardais et mon regard voulait lui demander ce qu'il était en train de faire. Allonge-toi, tu n'as pas vu le meilleur. Je rigolais doucement et écouta ses indications. Les yeux dirigés vers le ciel, les étoiles y brillaient de mille feux. Ce toit est le seul endroit que j'ai trouvé où il est possible d'observer les étoiles. J'étais éblouie par tant de beauté mais également par tant de sympathie et de générosité de sa part.
Je ne sais comment ni quelles raisons m'y ont poussé, mais nous nous sommes retrouvés à boire un verre au bar de mon hôtel. Lorsque je lui proposais d'aller dans ma chambre pour être plus tranquille, je n'avais aucune idée derrière la tête et il fut assez réticent. Après mes arguments il finit par accepter et nous nous retrouvions allongés dans mon lit comme deux vieux amis. Le regard tourné l'un vers l'autre, nous continuions notre discussion qui, au final, avait durée toute la journée. Plus le temps était passé à ses côtés, plus je m'étais surprise à lui dévoiler une part de ma vie. Moi qui était si renfermé et qui portait tant d'attention à garder mon intimité, je venais à me confier à un homme qui n'était rien d'autre qu'un inconnu. ... Seulement j'ai du mal à accepter le fait qu'il doive constamment partir pour affaires. Je sais que tous ces voyages font partie intégrante de son travail, mais je me demande si c'est réellement la vie que j'espérais. Kerwan me regardait sans dire un mot. Il m'écoutait en silence et malgré cela il semblait sincèrement intéressant par mon discours. Mais je l'aime, il n'y a rien d'autre dont je suis aussi certaine. Jamais je ne ferais quoique ce soit qui puisse lui nuire, qui puisse nous nuire. Mon amour me garde auprès de lui, malgré tout. Il soupira. Je fronçais légèrement les sourcils, ne comprenant pas sa réaction. Tu sais, lorsque l'on aime quelqu'un on fait généralement passé son bonheur avant le nôtre. Mais il faut parfois savoir pensé à soi. Être égoïste de temps à autre n'a jamais fait de mal à personne. J'eus un petit rictus, puis finis par lui sourire. Certainement oui ... - Ecoute, je ne connais pas ton fiancé, je ne connais pas réellement votre histoire et je ne veux en rien t'inciter à faire un quelconque choix ... Mais tu dois trouver la voix qui te rendra la plus heureuse, sans quoi tu auras toute ta vie ces regrets de ne pas avoir fait ce qui te semblait le mieux. Touché. Je n'ajoutais rien et changea volontairement de sujet avant de finir par m'endormir l'oreiller entre mes bras. Dans un demi-sommeil, il me sembla apercevoir Kerwan s'approcher de moi, déposé un baiser sur mon front et mettre correctement la couverture sur mes épaules. En me réveillant le lendemain matin, je le retrouvais endormi à l'autre bout du lit. Assez rassurée par le fait que nous portions toujours nos habits et qu'il n'y avait aucune proximité entre nous, je me rongeais tout de même les ongles me sentant coupable vis-à-vis de mon futur époux. Je n'avais en soit rien fait de mal, mais je doute que s'il apprenait que j'avais dormi aux côtés d'un autre homme, l'idée le réjouirait. Je filais en douce jusque la salle de bain. Lorsque je fus de retour dans la chambre, il était debout et venait d'enfiler ses chaussures. J'avais revêtis une tenue assez classe et stricte, sachant que la présentation de notre projet aurait lieu dans quelques heures. Je dois assister à une conférence, enfin tu sais, le projet de découverte ... Mais on peut boire un café ensemble avant, si tu veux. Je balbutiais, finalement gênée par la situation. Lui ne bronchait pas et me fit un sourire que je lui rendis. Pensant qu'il allait accepter, je fus surprise par sa réponse. Je ne peux pas, désolé. - Oh ... Je baissais légèrement la tête, la secouant doucement en guise d'acquiescement. Il s'approcha vers moi et me regarda droit dans les yeux. Je rentre chez moi aujourd'hui, mon avion décolle à une heure, mais je dois encore passer récupérer mes affaires. Je continuais à secouer la tête, je n'avais rien à dire de plus. Je vois, je comprends. Et bien, bon retour chez toi à ... Long Beach c'est bien ça ? Il rit doucement avant d'enfiler sa veste. Oui c'est bien ça. Content de t'avoir connu Méryl. Il déposa un baiser sur ma joue, accompagnant le geste à la parole et parti en direction de la porte donnant sur le couloir. Moi aussi ... murmurais-je alors qu'il sortait de la chambre.
GOTTA TAKE EVERY CHANCE TO SHOW THAT YOU'RE THE KINDA MAN WHO WILL NEVER LOOK BACK ◄►
Mon subconscient m'avait amené, sans que j'en crie garde, jusqu'à Long Beach. Je ne connaissais en rien cette ville, je l'avais seulement entendu sortir de la bouche d'un homme qui m'avait remît dans le droit chemin. Je débarquais comme une fleur égarée. Je réussis à m'installer plutôt facilement, mais ne trouvant pas de travail correspondant à mon cursus, je fus contrainte de travailler auprès de ma voisine de palier, sur les marchés de la ville. Madame fruit et légume, c'est bien moi! En revenant ici, il y avait une personne que j'espérais revoir, je le savais très bien. Seulement hormis la ville où il habitait il y a quelques mois et son prénom, je ne connaissais rien de lui. J'avais eu la stupidité de ne pas prendre son numéro de téléphone, pensant que tout ceci ne serait qu'éphémère et préférant garder ce brin de mystère à notre relation. Mais le destin fut, une fois de plus, de mon côté. Alors que je passais devant la vitrine d'un café, ce fut lui que je croisais attablé près de la fenêtre. Je ne réfléchis pas une seule seconde et entrais dans le café pour m'asseoir en face de lui. Je me doutais que s'il y avait bien un endroit où je vous reverrais ce serait dans un lieu comme celui-ci.Il leva la tête et parut surpris de ma présence, mais finit par sourire tout comme moi. Nous échangions les banalités avant que je ne remarque son uniforme. Tu es flic ? dis-je sur un ton étonné. Jamais je n'aurais cru qu'il exerçait un métier comme celui-ci, mais il fallait bien croire que les gens nous réservent parfois de grandes surprises. Et toi tu ne portes plus ta bague ... rétorqua-t-il, plein de malice. Je ramenais ma main jusqu'à moi et baissais les yeux vers mon doigt que je commençais à tripoter nerveusement. Longue histoire ... - J'ai tout mon temps. Je souris avant de commencer mon récit. Expliquer les détails de ma vie me semblait si facile lorsque je le faisais pour lui. Je me sentais en confiance et savait que je ne serais nullement jugée. L'histoire terminée, il s'assit confortablement dans sa chaise et croisa les bras sur sa poitrine. Et tu as choisi de venir t'installer ici, à Long Beach ? Je secouais la tête avant de me rendre compte que j'étais prise en faute. Il me fallait un endroit où m'envoler et c'est le premier nom qui m'est venu à l'esprit. Il sourit, je souris et je décelais dans son regard que malgré tout, il était content de me revoir.
Assise sur une machine à laver, mes pieds ballottant comme une gamine, j'attendais que mon linge soit lavé. J'avais beau être arrivée depuis près de deux mois, je n'avais pas les moyens de me payer une machine à laver. Du moins, je trouvais cette dépense inutile, la laverie me suffisait. En face de moi, assis sur le banc où les gens attendaient généralement que leur machine ait fini de tourner, Kerwan mangeait tranquillement. Comme souvent, il me racontait ses déboires de la journée. Excès de vitesse et vol dans une bijouterie. En cette période de Noël on va de toute façon voir que des délits de ce genre. - Tu t'es fait chier, quoi. Il rit doucement et je l'accompagnais avec plaisir. Disons que c'est pas la meilleure période de l'année dans mon métier. Long Beach manque d'action, c'est rare que je me retrouve dans des situations dignes de séries télévisées. J'acquiesçais sans rien ajouter. Les silences n'étaient jamais pesant, mais Kerwan le brisa au bout de quelques minutes. Il avala un nouveau bonbon et me demanda, une fois de plus : Tu es sûre de ne pas vouloir faire ça chez moi ? - Non, j'aime pas l'odeur de ta lessive. le taquinais-je gentiment. Faussement outré, il ouvrit sa bouche qui formait désormais un o et lança sur moi le paquet de bonbons désormais presque vide. Je m'étais mes bras devant mon visage en tant que protection ridicule et me mit à rire comme une folle. Il vint à moi et me plaque contre la machine à laver. Allongée je le regardais d'en bas, toujours morte de rire. Il fit de même et retrouva son sérieux pour prononcer quelques mots. Tu es certaine de vouloir insinuer que ma lessive pue ? Prête à repartir dans mon fou rire, je secouais la tête. Hunhun. Il sourit et me fit regretter ce que je venais de dire à coup de torture. Il avait appris à se rendre compte que les chatouilles étaient mon point faible, que j'étais aussi sensible mentalement que physiquement. A bout de souffle, n'en pouvant plus de me défendre comme je le pouvais, je finis par me rendre. C'est bon, c'est bon ar... arrêêête ! T'as gagné, aaaah arrêêête. Il y avait une complicité inexplicable entre nous et ce depuis le premier jour de notre rencontre. Nous ne l'exploitions seulement que depuis mon arrivée ici. Cette complicité était plus complexe que ce que nous l'espérions. Une certaine attirance, une connexion existait entre nous et il était bien difficile de ne pas s'en rendre compte. Cependant, malgré mon départ spontané de Bordeaux je pensais encore à ce qu'aurais été ma vie si je n'étais pas partie, si je n'avais pas fui mes engagements pour retrouver cette liberté depuis bien longtemps égarée.
Comme vous pourrez vous en douter, Kerwan est le seul espoir de Méryl de trouver la vie qui lui convient. Désespérée par l’atrocité de ses actes, elle ne préfère plus croire en un quelconque amour. Il n'est plus fait pour elle, puisqu'elle a détruit tout ce qu'il y avait de bien elle en quittant son fiancé. Kerwan est sa dernière chance de croire de nouveau qu'elle peut aimer et être aimée en retour. Auprès de lui elle va réapprendre ce qu'est l'amour et découvrir que le chemin qu'elle a choisi est finalement le bon. Qu'elle pourra vivre aux côtés de quelqu'un qui sera présent pour elle et qu'elle pourrait donc avoir tout ce dont elle avait espéré mais aussi renoncé lorsqu'elle était promis à son ex futur époux. Pour ce qui est de la suite des évènements je ne veux rien imposer et préférerais voir avec la personne qui prendra le scénario. Pour que tout ne soit pas tout beau tout rose, il faudrait évidemment une ombre au tableau. J'avais pensé au fait que Méryl pourrait recevoir un coup de téléphone qui la bouleverserait, ou bien au fait que Kerwan cache quelque chose qui pourrait compromettre leur histoire. Une femme cachée, une petite amie, une famille très croyante etc. Il y a tellement de chose qui pourrait coller et que l'on pourrait exploiter que je préférerais en discuter avant d'imposer quoi que ce soit. |
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Méryl Castelan
❖ CITATION : tourne vers moi tes yeux pleins d'azur et d'étoiles ! pour un de ces regards charmants, baume divin. des plaisirs plus obscurs je lèverai les voiles, et je t'endormirai dans un rêve sans fin - CHARLES BAUDELAIRE ❖ MESSAGES : 24 ❖ DATE D'INSCRIPTION : 29/12/2011 ❖ PSEUDO : foolish spirit. ❖ TON AVATAR : kristin kreuk. ❖ CRÉDIT : avatar @ stormy weather - sign @ uc.
| Sujet: Re: (m) SHOW ME A GARDEN THAT'S BURSTING INTO LIFE | JENSEN ACKLES | TRÈS NÉGOCIABLE | LIBRE. Dim 1 Jan - 3:40 | |
| SCENARIO LIBRE. AVATARS : je ne vous impose aucun avatar précis mais j'avoue avoir une énorme préférence pour Jensen Ackles. je trouve qu'il colle parfaitement au rôle, et que son caractère et sa façon de vivre pourrait changer des personnages habituels. je ne suis cependant pas contre d'autres propositions. NEGOCIABLE : l'avatar est tout à fait négociable, avec tout de même une préférence pour jensen ackles. je me garde un droit de vote concernant la célébrité que vous choisirez. le pseudo est totalement négociable, celui-ci n'est pas là qu'à titre indicatif. mais ne faites pas trop dans l'extravagant non plus, il faut que ça reste dans le domaine du lisible. :roll: l'histoire est plus ou moins négociable, il y a certains points à respecter pour que le lien avec méryl soit envisageable. quant au caractère les grandes lignes sont dans le scénario, à vous de le remodeler à votre façon si bon vous chante. NOTA BENE : ce scénario est un personnage important pour l'avancée de méryl, puisque kerwan fait entièrement partie de sa vie. je souhaiterais donc une personne un minimum motivée par le rôle et qui n'abandonnera pas quelques jours après validation ou même avant même d'avoir terminé sa présentation. niveau présence je suis moi-même en prépa kiné et donc assez prise mais une connexion un peu tous les jours ou bien trois-quatre fois ainsi qu'un rp au moins par semaine, ne seraient pas de refus. l'orthographe n'était pas mon ami à l'école, mes notes en dictée étaient bien souvent négatives mais un petit effort serait la bienvenue. :cute: il existe désormais des sites de corrections et du moment qu'il n'y en a pas à tous les mots, je serais indulgente. le nombre de ligne minimum me suffit, même si j'ai tendance à faire plus. un trentaine de lignes, par là. les pavés c'est pas intéressant pour faire avancer l'histoire. autrement je chérirais de tout mon coeur la personne qui voudra bien prendre kerwan en charge. je serais sienne pour toute la vie. :(a): |
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